Les premiers mots d’Andrés Cubas, le nouveau milieu de Nîmes Olympique 

Publié le mercredi 5 août 2020 18:02 - Colin DELPRAT 

Quinze jours après son arrivée, Andrés Cubas, le milieu de terrain international paraguayen, a été présenté à la presse ce mercredi 5 août. Pour l'instant, le joueur de 24 ans n'a pas commencé ses cours de langues, il a donc évoqué ses premières sensations en espagnol.
Sa double nationalité :
"Par l'intermédiaire de mon père, je possède la double nationalité. J'ai joué en jeunes pour l'Argentine mais il y avait un intérêt du Paraguay et j'ai saisi cette opportunité."
Son premier passage à Pescara :
"En 2017, j'ai joué quelques mois en Italie mais je n'ai pas réussi à m'imposer (1 match NDLR). Je suis parti un peu trop jeune. J'étais un peu trop pressé de venir en Europe."
Son arrivée à Nîmes :
"Quand il y a eu l’offre de Nîmes, j'ai senti que c'était le moment de revenir en Europe. Le club m'a fait une belle proposition. J’ai eu de très bonnes conversations avec Reda et Jérôme. Ils m'ont présenté, le projet, les installations, le projet de jeu et l’équipe."
Son intégration 
"Bizarre, il fait même plus chaud qu’en Argentine en ce moment (sourire). J’aime la ville, le club et mes nouveaux partenaires. Je suis très heureux d’être ici. Je vais bientôt apprendre le Français."
Les similitudes entre l'ambiance à Nîmes et en Argentine :
"J'ai vu ça, il y a beaucoup de passion avec un public assez chaud. Je pourrais me plaire à Nîmes car cela ressemble à l’ambiance que j'ai connu en Argentine. Elle me motive."
Son profil :
"Je n’ai pas d’appréhension par rapport à mon gabarit en Ligue 1 (1m67). Je suis habitué à ma taille et mon physique. Je suis plus dans l’anticipation et la vivacité mas je suis un joueur agressif, qui va tout donner. J’aime tirer les coups de pied arrêtés même si mes principales qualités sont à la récupération. Dans le système de l’équipe et selon les consignes, je me plais à jouer bas pour préparer le jeu. J’aime toucher le ballon, faire jouer l’équipe."
L'attente des supporters et la déclaration de Carlos Tevez :
"J’ai joué avec Carlos durant une année à Boca Juniors. J'ai entendu sa déclaration comme quoi j'allais être un phénomène. Je suis flatté. Mais c’est bien lui le phénomène. Je suis conscient de l’attente des supporters. J’ai hâte de leur prouver mes qualités."
Ses traducteurs dans le groupe :
"Je parle en espagnol avec Pablo Martinez, Florian Miguel ou Renaud Ripart. Je dois être fatiguant car je demande à chaque fois les exercices car pour l'instant je ne comprends rien (rires)."
Nîmes comme un tremplin pour lui ?
"Je ne pense pas vraiment au futur mais plutôt au présent. Je veux laisser mon empreinte à Nîmes avant de penser à déjà partir."
Le futur papa :
"Je vais avoir mon premier enfant ici. Nîmes aura forcément une signification particulière pour moi. Le fait d’avoir un enfant n’a pas influencé ma décision de revenir en Europe. La proposition de Nîmes était très intéressante."
Le restaurant argentin à Nîmes :
"J'ai eu plusieurs recommandations pour le restaurant Empanadas Argentinas. J'ai pu le tester et je confirme, il est très bon (sourire)."

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Stanislas Golinski
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Stanilas Golinski quand il avait 80 ans, toujours fidèle à Nîmes
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