En raison de problèmes pour scanner les billets, la direction de Nîmes Olympique a ouvert les portails d’accès du stade afin d’éviter aux supporters de rater la première période. Assis, 5 063 spectateurs ont pu assister à une histoire de penalties.

Pour un accroché constable, le Guingampais Livolant a transformé un penalty pour inscrire le premier but de l’histoire de ce stade (0-1, 23e). Cinq minutes plus tard, dans l’autre surface, Tchokounté puis Pagis se sont effondrés. L’arbitre a désigné un autre penalty pas des plus évidents. Le Nîmois Tchokounté a pris à contre-pied Basilio pour célébrer devant le top des Gladiators (1-1, 29e).

Le jeu n’a pas été favorisé sur une pelouse qui s’est rapidement dégradée. Entre longs ballons, duels et maladresses techniques, la rencontre a baissé en intensité. Chaque camp a eu quelques opportunités, rarement cadrées. Nîmes a davantage souffert en seconde période laissant le ballon et la domination territoriale aux Bretons. Fomba a bien déclenché un soupçon de frisson mais sa volée est passée proche du montant de Basilio.

Dans une fin de match dominée par Guingamp, il a fallu un nouveau coup du sort et une main de Benezet dans la surface, une nouvelle fois discutable, pour changer l'issue de la rencontre. Courtet a transformé la sentence et replongé Nîmes dans ses maux (1-2, 90e+2). Les Crocos se retrouvent 17es et premiers relégables de Ligue 2.

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Stanislas Golinski
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Stanilas Golinski quand il avait 80 ans, toujours fidèle à Nîmes
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