Rani Assaf devrait renoncer à déposer un autre permis de construire, et donc au projet

Selon nos informations, il va renoncer à déposer un autre permis. Et donc à son projet. Mais il demeure propriétaire de NO, actionnaire à 80 %. Et une éventuelle vente, pour l’instant, est au… stade de l’impasse. Comme le nouveau quartier des Costières. Midi Libre 15 09 2023        

 "Nous appelons au départ" de Rani Assaf, indique Julien Plantier, premier adjoint au maire de Nîmes

Nîmes

De Tony Selliez , Quentin Perez de Tudela

Vendredi 15 septembre 2023 à 12:11

Par France Bleu Gard Lozère

Rani Assaf peut-il rester aux manettes du Nîmes Olympique ? La mairie lui indique clairement la porte, après un nouveau refus de son projet immobilier, et une gestion du club remise en cause comme rarement. "Rani Assaf méprise le peuple nîmois", déclare Julien Plantier, le premier adjoint.

Nouveau coup dur pour Rani Assaf, à Nîmes. Son projet de nouveau quartier s'est vu ce jeudi retoqué par la CNAC, l'instance de recours des commissions départementales d'aménagement commercial : avis défavorable. Un nouveau coup d’arrêt donc pour le propriétaire du Nîmes Olympique, et pour ses projets de nouveau stade. Julien Plantier, premier adjoint à la Ville de Nîmes, s'est exprimé sur ce dossier en direct ce vendredi matin sur France Bleu Gard Lozère.

Il déclare déjà y voir "peu de surprises par rapport à cette affaire, cette décision. Très clairement aujourd'hui, par rapport à ce qui peut être proposé par le président Rani Assaf par rapport à ce projet, il y avait un certain nombre d'interrogations, un certain nombre de questions qui étaient en suspens et donc c'est pour cette raison que nous  ne sommes pas forcément surpris de la décision de la CNAC qui a été rendue."

France Bleu Gard Lozère : Manifestement. Julien Plantier, vous, vous ne l'avez pas accompagné, Rani Assaf, qui est allé défendre son dossier à Paris alors que c'est quand même vous qui lui avez vendu le stade.

Julien Plantier : Écoutez, il faut distinguer deux choses. D'une part, lorsque le projet tel qu'il a été présenté par le président Assaf, au moment où le club du Nîmes Olympique était dans une situation sportive bien plus favorable, il y avait une conjoncture qui était différente à cette époque-là. Force est de constater que depuis  les choses ont évolué et quand on voit la manière dont Rani Assaf méprise le peuple nîmois par rapport à la gestion du club, il y avait un certain nombre de questions.

J'ai eu l'occasion de le rencontrer au tout début de l'été avec le directeur général des services de la ville de Nîmes pour faire le point sur sur son projet. Et à ce moment-là, il nous a fait part qu'il envisageait un certain nombre de modifications sans pour autant nous donner le contenu des modifications. Et donc, en début de semaine, lorsque nous avons fait le point avec Jean-Paul Fournier, maire de Nîmes, nous avons pris la décision, une décision qui était pas simple à tenir mais nous assumons nos responsabilités, de ne pas participer à la CNAC et d'indiquer à cette juridiction qu'aujourd'hui la ville de Nîmes ne pouvait pas se positionner sur le sujet parce qu'il nous manquait beaucoup trop d'éléments pour pouvoir se positionner par rapport à ça. Je tiens à remercier Jean-Paul Fournier, d'avoir suivi cette position parce que très clairement, aujourd'hui, c'était un des derniers filtres par rapport au positionnement de Rani Assaf sur la ville de Nîmes

Ce refus judiciaro-administratif, si on peut l'appeler comme ça, avec ce refus là, le permis de construire, finalement, on n'en parle plus ?

Non, on ne peut pas dire ça aujourd'hui. Il y a une demande qui avait été déposée, une demande qui est encore instruite. Lors de l'instruction. Il y a un certain nombre de filtres qui doivent passer. Aujourd'hui, très clairement, le fait que la CNAC donne un avis défavorable en appel ne permet pas au projet de sortir en l'état. Donc l'instruction prendra toutes ses responsabilités par rapport à cela. Après, si le porteur du projet présente un certain nombre de modifications prenant en compte les éléments par rapport à cette décision, à ce moment-là, l'instruction peut évoluer. Mais par contre, il y a là, pour le coup, une autre problématique qui s'ouvre, c'est qu'à partir du moment où il y a des modifications importantes par rapport à ce projet, le projet ne pourra être décidé en l'état. Il devra déposer une nouvelle demande de permis de construire le cas échéant.

Vous savez, depuis le début, nous avons à cœur d'accompagner le Nîmes Olympique. Je l'ai dit en introduction de mes propos ; lorsque nous avions un club qui tutoyait le sommet de l'élite française, c'est à dire lorsqu'on est monté en Ligue 1, il y avait une dynamique sportive qui était présente avec un certain nombre de projets qui pouvaient l'accompagner, notamment par rapport à la construction d'un nouveau stade. Et force est de constater qu'aujourd'hui, bien évidemment, nous partageons le constat qui est fait. Jean-Paul Fournier est extrêmement critique à l'égard de Rani Assaf et la manière dont il peut gérer ce club aujourd'hui.

Très clairement, on voit bien que ce n'est plus l'homme de la situation et nous appelons à son départ le plus rapidement possible pour qu'on puisse retrouver un semblant de sérénité. Parce qu'aujourd'hui, très clairement, vous avez raison, ce n'est pas digne d'un club de foot professionnel d'une ville de 150 000 habitants.

Alors qui prendrait la présidence dans cette éventualité là, parce que pour l'instant, il n'a pas parlé de partir. Julien Plantier, vous êtes prêt ?

Aujourd'hui ce qu'il faut bien comprendre, c'est qu'il n'y a pas d'ingérence.** Aujourd'hui, le club de football professionnel qu'est Nîmes Olympique, même s'il est dans une situation critique d'un point de vue sportif, est  une entité privée. Nous n'avons pas à nous impliquer par rapport à cela.  Nous, par contre, ce que l'on peut faire, c'est qu'on essaye autant que possible de défendre les intérêts moraux du club, de défendre la caution qu'est le Nîmes Olympique et de ne pas porter atteinte à l'héritage que l'on a pu laisser depuis 70 ans au niveau de ce club.

Donc aujourd'hui, on est extrêmement vigilant par rapport à cela. On voit bien et très clairement on a pris bien évidemment, le constat qui est le suivant : c'est à dire qu'aujourd'hui, il n'est plus en capacité de gérer ce club.

Jean-Paul Fournier le lui a dit, je le lui ai dit, Nicolas Rainville en tant qu'adjoint aux sports le lui a dit, et j'espère aujourd'hui qu'il va faire preuve de réalisme et de lucidité pour se rendre compte de la situation dans laquelle est ce club, et surtout de la situation dans laquelle lui-même a mis ce club. 

Après un premier avis défavorable avec clause de revoyure, la Commission nationale d'aménagement commercial vient à nouveau de retoquer le projet de nouveau stade et quartier porté par le président de Nîmes Olympique Rani Assaf. Quelles conséquences ? 

Le silence assourdissant du président de Nîmes Olympique, avec qui ni les élus municipaux, ni les supporters, ni même l'entraîneur de son équipe première n'ont eu de contacts depuis de nombreuses semaines, pouvait déjà mettre la puce à l'oreille. "La dernière fois que nous l'avons vu, c'était courant juin, confirme Julien Plantier, premier adjoint au maire. Il nous avait dit qu'il reviendrait vers nous à la fin de la période estivale, laissant entendre qu'il apporterait des modifications à son dossier. Ce qui avait suscité beaucoup de craintes de notre part sur l'avenir de ce projet."

L'aspect commercial déjà pointé du doigt

Ce projet, c'est celui de tout un nouveau quartier, au cœur duquel doit s'élever la future enceinte sportive des Crocos. Un ensemble immobilier, mais aussi commercial. Et c'est justement cette dernière partie qui avait posé problème à la Commission nationale d'aménagement commercial (CNAC) lors de l'étude du dossier en fin d'année 2022. Estimant notamment que "le projet est de nature, en l'état, à porter atteinte à la préservation des commerces de proximité du territoire nîmois". L'avis défavorable rendu en suivant par la commission prévoyait cependant une possibilité d'appel.

La Ville se met en retrait du projet

Mais, depuis, les événements se sont précipités. Et, surtout, la confiance de la municipalité nîmoise en son porteur de projet s'est considérablement effritée. Alors que le dossier devait revenir sur la table de la Cnac ce jeudi 14 septembre, la Ville de Nîmes a adressé, en date du 12 septembre, un courrier à la Présidente de cette commission, l'informant, selon un document que s'est procuré Midi Libre, qu'elle ne ferait pas le déplacement pour soutenir Rani Assaf, estimant "qu'en l'absence de contact, nous ne pouvons pas nous prononcer sur ce dossier".

Nous sommes en rupture totale de confiance avec Rani Assaf

"Aucun élément ne nous a été donné sur le projet avant qu'il ne soit représenté", pointe Julien Plantier, expliquant la motivation de la Ville à se désengager : "Certains diront que nous faisons volte-face, mais nous l'assumons. Nous ne souhaitons pas engager la responsabilité de la Ville sur le projet tel qu'il est devenu, ni être désormais associés à Rani Assaf avec qui nous sommes en rupture totale de confiance."    

Retour à la case départ ?

Un soutien de poids perdu qui a sans doute pesé lourd dans la décision prise ce jeudi par la Cnac, avec un nouvel - et définitif - avis défavorable sur le dossier porté par la société Nemau. Désormais, Rani Assaf n'a plus le choix s'il souhaite obtenir son permis de construire : il va devoir y apporter des modifications. Avec cependant un bémol majeur : si ces modifications de permis sont trop importantes, un nouveau dossier devra être constitué. Impliquant un retour à la case départ qui aura fait perdre, a minima, un an et demi à ce programme d'envergure. 

Mais pour Julien Plantier, le constat est implacable face à ce qui s'apparente à une impasse : "Toutes les conditions sont réunies pour Rani Assaf fasse preuve de lucidité et qu'il passe la main. Force est de constater qu'il n'est plus l'homme de la situation."

Reste maintenant à ce qu'une voix se fasse enfin entendre, celle de Rani Assaf. Midi Libre 14 09 2023

Coup de tonnerre pour l'avenir du Nîmes Olympique version Rani Assaf. La CNAC, en émettant un avis défavorable à son projet commercial, met un sérieux coup de frein au projet de nouveau stade et du nouveau quartier commercial.

La CNAC, instance de recours des commissions départementales d'aménagement commercial (CDAC), sollicitée pour se prononcer sur l'autorisation d’exploitation commerciale du projet de nouveau quartier de Rani Assaf vient de rendre son avis. Il est défavorable. Ainsi, le maire de Nîmes n'aura pas d'autres choix que de refuser le permis de construire en l'état du chef d'entreprise nîmois.

Pourtant, tout avait bien commencé en juillet 2022. En commission départementale, avec l'appui de la ville de Nîmes, le projet du dirigeant du Nîmes Olympique était passé comme une lettre à la poste sur le volet commercial. Mais un recours demandé par Nîmes Coupole alias Socri-Reim, propriétaire du centre commercial du coeur de ville et l'association Coeur de Nîmes, a tout remis en cause. "Jamais nous n'avons entrepris une démarche à l’encontre du projet de M. Assaf. Simplement il n'était pas possible d'imaginer une nouvelle zone commerciale en périphérie concurrente du centre-ville déjà en souffrance", explique Guillaume Barnier, l'un des avocats de la Socri.

Ainsi, à l'automne dernier, lors du recours, la CNAC avait émis un premier avis défavorable avec clause de revoyure. Pour faire simple, Rani Assaf et ses associés devaient produire une modification de leur projet en tenant compte des remarques formulées par l'instance. "Cela n'a pas été le cas, il n'y a pas eu de modification sur le fond. Nous attendions des engagements forts en termes d'adaptation des commerces, mais aucune enseigne n'a été présentée, ni de baux. Par ailleurs, le projet revu devait prendre en compte des modifications aussi d'un point de vue environnemental", complètent Guillaume Barnier et Romain Geoffret, les deux avocats en charge des intérêts des propriétaires de la Coupole.

Julien Plantier, le premier adjoint en première ligne

Selon nos informations, ni Rani Assaf, ni la ville de Nîmes n'ont fait le déplacement sur Paris aujourd'hui. Mieux, Julien Plantier, le premier adjoint qui avait pris des engagements avec les groupes de supporteurs, semble avoir tenu parole. Comme expliqué dimanche dernier dans nos colonnes, il a réussi à convaincre le maire et le directeur général des services, Christophe Madalle, qu'il était venu le moment de prendre les distances définitivement avec le patron du Nîmes Olympique.

Difficile de savoir encore à cette heure quelle sera la réaction de Rani Assaf ? Une chose est certaine, cette mauvaise nouvelle implique de facto un refus de permis de construire par la ville de Nîmes. "C'est un coup de canif porté au projet du nouveau stade. Mais la bataille n'est pas totalement perdue. Rani Assaf a plus d'un tour dans son sac. S'il ne peut pas mettre d'activités commerciales, il se tournera vers le médical et déposera un nouveau permis de construire", pense savoir une source proche du propriétaire du Nîmes Olympique. Dans le monde médical gardois, l'atout principal de Rani Assaf s'appelle Vincent Bastide. Sponsor du maillot de l'équipe première, il a aussi préréservé des m2 dans le futur quartier. 

Cette nouvelle étape dans l'histoire du Nîmes Olympique entrainera-t-elle le départ du patron ? L'avenir proche le dira... Objectif Gard 14 09 2023

Julien Plantier, le premier adjoint de la ville de Nîmes, s'exprime sur Objectif Gard sur les conséquences de la décision défavorable de la CNAC concernant le projet de Rani Assaf.

Comme annoncé un peu plus tôt par Objectif Gard, la CNAC, instance de recours des commissions départementales d'aménagement commercial (CDAC), sollicitée pour se prononcer sur l'autorisation d’exploitation commerciale du projet de nouveau quartier de Rani Assaf vient de rendre son avis. Il est défavorable. Ainsi, le maire de Nîmes n'aura pas d'autres choix que de refuser le permis de construire en l'état du chef d'entreprise nîmois. Julien Plantier, le premier adjoint, s'exprime.

Objectif Gard : La CNAC a rendu un avis défavorable. Vous êtes surpris ?

Julien Plantier : Non. La décision de la CNAC est en droite ligne avec les échanges que nous avons avec le maire de Nîmes depuis plusieurs semaines. La Ville n'était plus en capacité d'être aux côtés du porteur de projet. Par ailleurs, les modifications annoncées ici et là ne répondent plus à nos attentes.

Quelles étaient ces modifications ?

Je ne vais pas rentrer dans le détail, mais de façon claire, Rani Assaf avait l'intention de faire une revue globale à la baisse du projet. Deux mois après nous avoir présenté ces modifications, nous n'avons plus aucune nouvelle. Ainsi, il n'était pas possible pour la Ville et ses représentants de se présenter à la CNAC dans ces conditions. Et on voit bien à travers la décision que la Commission nous a donné raison.

Est-ce que vous allez rejeter le permis de construire du nouveau stade ?

Je ne peux pas répondre à cette question comme cela. Il y a une instruction en cours et je veux respecter le travail si précieux des équipes de la Ville. Mais au regard de la décision de ce soir, il est évident que l'instruction va se terminer rapidement.

Est-ce que Rani Assaf et ses associés peuvent présenter une nouvelle feuille de route et donc, un nouveau permis de construire dans quelques années ?

Bien sûr, s'ils modifient l'équilibre du projet et apportent les modifications attendues. Mais que les choses soient très claires : nous avons pris nos responsabilités avec réalisme, lucidité et surtout, en prenant en compte l'avis des habitants. La majorité municipale considère aujourd'hui qu'il n'est plus l'homme de la situation pour le Nîmes Olympique. À lui d'en tirer les bonnes conclusions et rapidement. 14 09 2023

La salle du bar le Victor Hugo était pleine samedi 9 septembre pour l’assemblée générale constitutive de l’association « Sauvons le Nîmes Olympique ». Initiateurs du projet, le restaurateur Corentin et l’ancien footballeur Alain Espeisse deviennent co-président tandis que Dimitri Pialat, vice-président des Gladiators va occuper le même rôle aussi de la nouvelle association.

Ils ont dévoilé les prémices d’un projet de socios. "L’objectif de mettre les supporters au coeur d’un projet populaire", avance Corentin Carpentier. "Nous avons les exemples de Sochaux, Bastia, Guingamp ou Strasbourg à l’heure où les fonds d’investissement ont leurs limites. On souhaite revenir à quelle chose de plus simple."

"Il n’est pas encore fixé et ouvert à toute force de proposition lors de groupes de travail", poursuit Dimitri Pialat. "On agit pour éviter de connaître à nouveau une telle situation. Nous voulons être acteurs de notre club. On peut participer à son renouveau. Nous allons constituer une levée de fonds. L'argent sera placé sur un compte bloqué de l’association qui aura un contrat moral sur son utilisation."

Les protagonistes font tout de même preuve de prudence puisque le club est toujours l’unique propriété de Rani Assaf. En attendant, ils se préparent avec cette association où l’adhésion est à cinq euros à souscrire en ligne. Une réunion avec la mairie est prévue dans les prochains jours.

Pour adhérer, clic ici : https://www.helloasso.com/associations/collectif-sauvons-le-nimes-olympique

À la suite du dépôt de plainte d'associations de supporters nîmois, se sentant discriminés par le patron du club Rani Assaf, le parquet de Nîmes a ouvert une enquête préliminaire. 

L'EQUIPE

Jeudi, à travers un communiqué, trois associations de supporters du Nîmes Olympique (National), dont les historiques Gladiators, annonçaient avoir déposé une plainte à l'encontre de Rani Assaf, propriétaire et président du club, en raison de leur empêchement d'accès au stade des Antonins avec du matériel, face au Mans (1-1), le vendredi 25 août.

Selon nos informations, le parquet de Nîmes a bien reçu la plainte, pour discrimination, et a même décidé l'ouverture d'une enquête préliminaire. Les représentants des supporters nîmois avaient notamment pointé le fait que leurs bâches, sans slogan d'après eux, avaient été retoquées, au contraire de celles déployées dans le parcage adverse.

Il s'agit d'un nouvel épisode, sur le terrain judiciaire cette fois, de la bataille qui oppose le patron du NO aux fans du club depuis plusieurs années maintenant.

NIMES VS LE MANS - 25 08 2023
NIMES VS LE MANS - 25 08 2023

Un supporter de Martigues m'écrit après le match de hier soir :

Bonjour , supporter du FC Martigues depuis plus de 20 ans , je suis venu hier pour aller voir mon équipe aux Antonins , je connaissais plus ou moins la situation sportive mais aussi et SURTOUT extrasportive du NO avec votre président, enfin si on peut appeler cela un président mais la c'était la première fois que j'assistais à un match aussi triste en tribune ...l'image que j'avais de Nimes c'était les Costieres avec des supporters en folie mais aussi des belles animations en tribune que ce soit les GN mais aussi les Nemausus ..je me souvient dun tifo qu'ils avaient réalisé lors de Nimes-OM en Aout 2018 ....Nimes c'est comme Marseille Lens Saint Étienne ou encore Sedan .. certes avec toute proportion gardée mais c'est ou c'était "je ne sais pas" une ville qui respirait le foot ....je ne suis pas supporter du club mais très honnêtement je suis triste avec un grand T pour voir ce qu'est devenu ce club, ne parlons pas de l'accueil avec deux vigiles pour rentrer ...ouverture des portes à 17h30 pour au final nous faire rentrer à 18h ...avec un coup d'envoi à 18h30!!! un stade préfabriqué avec des normes de sécurité douteuses ...imagine si il y a une grosse affiche et que vous ayez une tribune complète de GN "soyons fou" qu'à force il y ait une catastrophe...des buvettes fermées enfin une buvette ...pas de musique après le match ...et oui trop cher pour payer la SACEM ...pas de lumière dans les chiottes ....pas de.ramasseurs de.balles avant la rencontre...speaker en bois ...jingle de ligue 2 lancé alors que c'est du National ...A ces éléments s'ajoutent une liste déjà bien fournis de conneries de votre président.....je vous plains camarades nîmois....je suis parti du stade satisfait que mon équipe ait pu faire un bon résultat....mais en même temps révolté de voir comment un club de foot comme celui-ci a-t'il pu en arriver là.........soutien moral à vous et pour finir .......ASSAF CASSE TOI

Tour de France - 09 07 2023
Tour de France - 09 07 2023

CLIC SUR CERTAINES PHOTOS POUR LES AGRANDIR

RECHERCHE ARTICLE OU PERSONNALITE

Stanislas Golinski
Stanislas Golinski
Stanilas Golinski quand il avait 80 ans, toujours fidèle à Nîmes
Stanilas Golinski quand il avait 80 ans, toujours fidèle à Nîmes