18 ans, Kévin Denkey a signé jusqu’en fin de saison avec l’AS Béziers.

Kévin, quel est ton parcours en club et en sélection ?

J’ai commencé au Cascol Football, un petit club près de Lyon. C’est là que Bernard Blaquart, qui était coach des U17 au Nîmes Olympique, est venu me chercher et m’a ramené à Nîmes. Il y a deux ans, j’ai fait ma première rentrée avec le groupe professionnel et j’ai signé mon premier contrat il y a quelques semaines. En équipe nationale togolaise, j’ai fait ma première sélection avec les Espoirs au Tournoi de Toulon. J’avais notamment inscrit deux buts face à la Corée, Claude Leroy était présent et m’avait repéré lors de cette rencontre. Après, j’ai eu la chance d’être appelé avec les A et lors de ma deuxième sélection, je rentre en jeu et je marque face à la Gambie.

Pourquoi avoir rejoint l’AS Béziers ?

J’ai eu plusieurs propositions de prêt en Ligue 2 et en Belgique. J’ai finalement choisi Béziers car c’est à côté de Nîmes, mais également car l’ambiance est à peu près similaire. C’est le même type de club, et puis j’ai été convaincu par le discours du coach. Il m’a fait sentir qu’il me voulait vraiment. Après, j’aurais très bien pu rester à Nîmes et dire que je voulais jouer en Ligue 1. Mais j’ai besoin de m’aguerrir, de prendre du temps de jeu. Je n’ai pas de continuité dans le monde professionnel, ces quelques mois vont me servir pour revenir à Nîmes encore plus fort. Je suis certain que Béziers est le bon choix pour moi.

Quels seront tes objectifs ?

 

La priorité, c’est que l’on se maintienne en Ligue 2. C’est clairement le plus important. Je sais que l’on a un bon groupe, que l’équipe joue bien et qu’elle peut largement atteindre cet objectif. Après, c’est clair que j’espère profiter de cette deuxième partie de saison pour marquer des buts et me montrer. Je sais que les supporters de Nîmes continuent à me suivre. Je vais donner mon maximum pour les rendre heureux, tout comme ceux de l’ASB.

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Stanislas Golinski
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Stanilas Golinski quand il avait 80 ans, toujours fidèle à Nîmes
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